Conseils méthodologiques pour rédiger votre mémoire

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Conseils méthodologiques pour rédiger votre mémoire

Les conseils que nous allons détailler dans cet article sont donnés par un de nos meilleurs rédacteurs, diplômé d’un doctorat et à un niveau énarque. C’est une personne qui a d’excellents retours et qui a un niveau académique des plus élevés. Donc sur la base de son expérience rédactionnelle on a dégagé quelques conseils à forte valeur ajoutée qui pourront vous servir lors de la rédaction de votre mémoire.

Le premier conseil à vous donner, c’est en amont de toute rédaction. Il s’agit de systématiquement poser un plan pré détaillé. Pourquoi un plan très détaillé ? Puisque ça va vous permettre de fixer un cap, savoir où vous allez au niveau rédactionnel et travailler de manière efficiente. A partir du moment où vous avez posé les fondamentaux de votre mémoire et vous avez vraiment les titres et les sous titres de vos parties détaillées, eh bien, lorsque vous êtes amené à rédiger, vous avez un fil conducteur. Donc vous ne vous posez plus la question de ce que vous allez devoir rédiger. Puisque vous l’avez déjà posé en amont et cela va notamment vous éviter de faire des réécritures inutiles et de devoir recommencer certaines parties. Il s’agit vraiment de travailler de manière efficiente puisque quand on a un plan, un cap posé en amont, très bien détaillé, il ne reste plus qu’à dérouler et s’y référer. Le plan revêt une importance absolument fondamentale au niveau organisationnel lorsque vous êtes amené à rédiger un mémoire. C’est vraiment l’étape clé absolument incontournable. Ce plan a vocation à être validé par le tuteur pour en sécuriser le contenu et sécuriser par la suite la rédaction qui s’inscrira dans le cadre de ce plan là.

Deuxième conseil stratégique pour optimiser la rédaction de votre mémoire c’est de faire un brainstorming au niveau des parties et des sous parties, puis d’indiquer avant de rédiger les différentes idées que vous allez aborder au niveau de ces parties. Vous indiquez les points clés que vous allez aborder et vous pouvez associer à ces idées là, à ces concepts là, les différentes sources bibliographiques académiques et bien entendu sur lesquels vous allez vous appuyer pour la rédaction. Vous aurez ainsi non seulement les idées, les concepts que vous avez abordés, les points qu’il va falloir développer dans le cadre de vos parties, mais vous aurez également les références bibliographiques académiques sur lesquels vous vous appuierez pour rédiger des sources. Tout cela sera décliné au sein des différentes parties et des sous parties lorsque vous serez amené à rédiger et dérouler suivant ce fil conducteur là. Vous aurez la matière et les idées que vous devrez effectivement développer et vous ne vous poserez pas systématiquement des questions organisationnelles, à savoir si vous suivez la bonne organisation. Ainsi, ça vous permet de capitaliser sur les différentes parties et d’avoir une visibilité, un panorama dès le départ de ce que vous allez rédiger. Ce que l’on vous conseille également c’est de rédiger en suivant le plan que vous avez. Cela va vous permettre d’éviter des redondances, des répétitions. Le plan suit une cohérence. On commence sur certaines parties et on affine par la suite. Et on aborde effectivement d’autres parties sans se répéter, au sein des différentes parties. Mais c’est aussi tout l’intérêt de faire le plan, c’est d’éviter ces redondances là. Et en suivant chronologiquement les différentes étapes du plan, vous vous assurez de ne pas avoir ces redondances et incohérences dans le développement de votre mémoire. 

Pour rédiger ce qui concerne la partie empirique, la partie méthodologie avec un maximum de détails, afin d’éviter certaines critiques qui pourraient émaner du jury, notamment la taille de l’échantillon si vous faites des questionnaires, la nature des interviewés, pourquoi pas indiquer l’outil d’enquête sur lequel vous allez vous appuyez etc. On le précise en amont de la rédaction de la partie empirique. Cette partie méthodologie est absolument fondamentale parce que si la méthodologie est fausse ou biaisée elle ne permet pas d’avoir des résultats représentatifs. Cela peut justifier une invalidation du mémoire. On est sur une partie qui est rédhibitoire pour la validation du mémoire, une partie qui est absolument fondamentale. Vous allez devoir donc chercher à la faire valider naturellement par le directeur de mémoire. 

En ce qui concerne également la partie empirique, vous allez d’abord finaliser l’analyse de vos résultats et après vous allez rédiger naturellement. Lorsque vous faites l’analyse de vos résultats, vous aurez également certaines idées qui émergeront naturellement. N’hésitez pas immédiatement à indiquer ces quelques idées au sein de la partie discussions par exemple, ou interprétation des résultats. Puisque dans tout mémoire, enfin la plupart d’entre eux, comporte la partie empirique, qui repose sur des observations terrain qui elles-mêmes sont ensuite discutées, interprétées. Et ces interprétations lorsque vous allez prendre connaissance de ces résultats, peuvent avoir des idées qui émergent et si vous ne notez pas tout de suite vous pourrez les oublier. Pour donner de la matière à réflexion n’hésitez pas à les coucher sur papier immédiatement lorsque vous êtes amené à analyser vos résultats. Après vous rédigez et vous vous référez également à ces différents points qui constitueront une matière supplémentaire et une valeur ajoutée supplémentaire.

L’avant-dernier conseil que nous vous donnons, c’est de rédiger les parties clés à la fin. Donc conclusion à la fin puisque celle-ci va forcément découler de vos résultats, ceux que vous avez obtenus sur le terrain à travers la partie empirique. Et la conclusion va notamment vous apporter le résumé des réponses à des problématiques. L’introduction présente également un intérêt d’être rédigée à la fin puisque vous allez présenter et justifier l’intérêt de la recherche, l’intérêt de la problématique. Et forcément vous aurez une meilleure visibilité tout simplement sur sur cette justification lorsque vous avez paradoxalement terminé l’analyse de vos résultats. Et vous pourrez mettre en avant de manière plus qualitative justement la justification de l’intérêt de cette problématique et cette démarche de recherche.

Dernier conseil concerne cette fois ci, même si c’est un peu redondant mais étant donné l’importance de ce point là on se permet de le répéter, c’est toujours de faire valider par le directeur de mémoire les différentes parties. Puisque ça vous permet de vous sécuriser à la fin; ça vous permet de capitaliser sur les différentes parties rédigées. Lorsqu’on a des validations par le directeur de mémoire, on sait qu’on ne va pas revenir là dessus, on avance de concert et on capitalise sur les différentes parties. Au final avec cette stratégie on sait qu’on aura un mémoire validé. La validation sera sécurisée en amont du dépôt, ça c’est absolument fondamental de toujours échanger avec le directeur de mémoire et conserver une bonne relation avec lui justement pour avoir cette pré validation avant de déposer.

Espérant que cet article vous apportera quelques éclairages intéressants, nous vous souhaitons bon courage pour la rédaction de votre mémoire.

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